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글로벌 아트페어(Global Art Fair) 비평적 읽기

  • Sim, Sang-Yong
    • The Journal of Art Theory & Practice
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    • no.6
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    • pp.51-76
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    • 2008
  • Nous obserbons dans le champs de l'art aujourd' hui, le changement radical provoquant $\'{e}$tant donn$\'{e}$ que le pouvoir du march$\'{e}$ de l'art s'augmente de plus en plus. C'est pour cela que le champ du discours de l'art n'est actuellement plus form$\'{e}$ par des notions esth$\`{e}$tiques artistiques, mais par celles qui sont r$\'{e}$serv$\'{e}$es au domaine de l'$\'{e}$conomie et du march$\'{e}$. Il n'est plus significatif de croire la valeur esth$\`{e}$tique de l'oeuvre d'art, puisque l'esth$\`{e}$tique elle-m$\^{e}$me ne fonctionne plus. Par contre, le syst$\`{e}$me de donner le prix $\`{a}$ l'oeuvre d'art fonctionne rigoureusement. En plus, cette situation s'aggrave $\'{e}$tant donn$\'{e}$ que la mondialisation du march$\'{e}$ de l'art s'installe avec rapidit$\'{e}$. Malgr$\'{e}$ la mondialisation de l'art, des gens qui habitent par exemple $\`{a}$ S$\'{e}$oul ne peuvent pas s' approcher facilement de ce qui se passe $\`{a}$ New York, le vrai centre de l'art contemporain. Dans cette situation, le champ de discours de l'art n'a pas d'autre solution de se r$\'{e}$tr$\'{e}$cir remaquablement et le sujet de discussion sur le grand art est remplac$\'{e}$ par celui du success de l'art. Cette recherche est arriv$\'{e}$e $\`{a}$ remarquer que le syst$\`{e}$me du foire internationale de l'art fonctionne comme une locomotive dans le march$\'{e}$ de l'art qui est le vrai dominateur de l'art contemporain. Aujourd'hui les grands clients du monde de l'art et les jeunes sp$\'{e}$ctateurs, les clients de l'avenir s'assemblent autour de quelques foires internationales r$\'{e}$put$\'{e}$s qui ont de l'autorit$\'{e}$. C'est ainsi que l'achat et la vante de l'oeuvres d'art est suffisamment mondialis$\'{e}$ et que le syst$\`{e}$me local du march$\'{e}$ est d$\'{e}$rang$\'{e}$ et s'$\'{e}$ffondr$\'{e}$gravement. Malgr$\'{e}$ la diff$\'{e}$rence significative, la majorit$\'{e}$ des galeries d'art lacaux s'oblige de suivre $\`{a}$ la suite du style du foire internationale de l'art. C'est la raison pour laquelle que cette recherche se fait une id$\'{e}$e nette que la prosp$\'{e}$rit$\'{e}$ actuelle du march$\'{e}$ de l'art n'est que la situation $\'{e}$conomique ou financi$\`{e}$re. A ce stade de la r$\'{e}$flexion, cette recherche arrivera $\`{a}$ poser une question primordiale ci-dessous: "Si l'art qu'on $\`{a}$ l'intention de proclamer ne serai plus possible de faire r$\'{e}$fl$\'{e}$chir sur la libert$\'{e}$ et la solidarit$\'{e}$ humain, la dignit$\'{e}$ de l'homme, cet art n'est plus autre chose que l'insignifiance. Au lieu de parcourir divers ph$\'{e}$nom$\`{e}$ne du march$\'{e}$ de l'art aujourd'hui, cette recherche fixera son attention sur la r$\'{e}$alit$\'{e}$ du foire internationales de l'art. Dans ce context, cette recherche sera compos$\'{e}$e par trois chapitres donc le premi$\`{e}$re essayera de r$\'{e}$pondre $\'{a}$ la question de son influence extraodinairement puissante. Le deuxi$\`{e}$me chapitre essayera d'analiser la r$\'{e}$alit$\'{e}$ et la source du pouvoir du foire internationale de l'art. Nous essayeront au troisi$\`{e}$me chapitre de configurer le point de vue critique qui permettra de bien comprendre notre sujet.

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Logosphère de G. Bachelard et les rêveries de langue (바슐라르의 Logosphère와 언어적 몽상)

  • HONG, Myung-Hee
    • Cross-Cultural Studies
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    • v.25
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    • pp.679-694
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    • 2011
  • La langue est un des ${\acute{e}}l{\acute{e}}ments$ $privil{\acute{e}}gi{\acute{e}}s$ de la $r{\hat{e}}verie$ chez Bachelard. La langue est une force fondamentale de l'imagination. D'une part, elle garde son propre valeur dans le processus de l'imagination, et d'autre part elle forme sa propre image. La $priorit{\acute{e}}$ de langue chez Bachelard a, en effet, quelque liaison avec la notion de Logos qui avait ${\acute{e}}t{\acute{e}}$ $trait{\acute{e}}$ depuis longtemps comme $v{\acute{e}}rit{\acute{e}}$ ${\acute{e}}ternelle$ dans la $m{\acute{e}}taphysique$ occidentale. Cependant, la notion de logos de Bachelard se $diff{\grave{e}}re$ de celle de $m{\acute{e}}taphysique$ occidentale. Tandis que la $m{\acute{e}}taphysique$ traditionnelle traite le logos comme un but ${\acute{e}}ternel$ de sa $m{\acute{e}}ditation$, Bachelard donne l'importance sur la $capacit{\acute{e}}$ linguistique et imaginaire du logos. Le $logosph{\grave{e}}re$ est un des exemples qui montre bien la $diff{\acute{e}}rence$ entre la notion de logos de Bachelard et celle de $m{\acute{e}}taphysique$ traditionnelle. Le $logosph{\grave{e}}re$ est un $n{\acute{e}}ologisme$ de Bachelard qui est fait pour $d{\acute{e}}signer$ $l^{\prime}atmosph{\grave{e}}re$ verbal de la $soci{\acute{e}}t{\acute{e}}$ contemporaine $gr{\hat{a}}ce$ ${\grave{a}}$ l'emission de radio. Bachelard comprend le $ph{\acute{e}}nom{\grave{e}}ne$ de radio en tant que $r{\acute{e}}alisation$ de $Psych{\acute{e}}$ dans la vie quotidienne. C'est $gr{\hat{a}}ce$ ${\grave{a}}$ la technologie moderne que nous pouvons avoir l'univers de langue plus facilement par rapport aux $si{\grave{e}}cles$ $pr{\acute{e}}c{\acute{e}}dents$. Selon Bachelard, la radio n'est pas un simple instrument de communication. C'est une porte pour entrer dans la $r{\hat{e}}verie$ universelle. La radio est une voix du monde qui exprime notre inconscient. Quand un $r{\hat{e}}veur$ $r{\hat{e}}ve$, son $r{\hat{e}}verie$ se $d{\acute{e}}veloppe$ en se discutant avec le monde. Alors, quand nous $r{\hat{e}}vons$, nous parlons au monde et nous ${\acute{e}}coutons$ du monde, de sorte que nous devenons les citoyens du $logosph{\grave{e}}re$. Dans son oeuvre Sur la Grammatologie, J. Derrida critique la $m{\acute{e}}taphysique$ occidentale en la intitulant logocentrisme. Derrida pense que la philosophie occidentale a comme le but final la $pr{\acute{e}}sence$ de logos. Cette $pr{\acute{e}}sence$ de logos ne peut ${\hat{e}}tre$ $r{\acute{e}}alis{\acute{e}}e$ que par la langue de la voix, non pas par la langue de $caract{\grave{e}}re$. $D^{\prime}o{\grave{u}}$ vient le logocentrisme ou le phonocentrisme de $m{\acute{e}}taphysique$ occidental. Mais Derrida pense que le logocentrisme n'est qu'un autre aspect de l'ethnocentrisme ${\acute{e}}troit$ de l'occident. La notion de $logosph{\grave{e}}re$ de Bachelard a quelques ressemblances avec logocentrisme par ses apparences. Cependant, elles ont une $diff{\acute{e}}rence$ fondamentale depuis leur $d{\acute{e}}part$. Tandis que logocentrisme $tra{\hat{i}}te$ la parole en tant que $mani{\grave{e}}re$ d'expression de raison qui est une puissance fondamentale de l'homme, Bachelard pense que la parole est un $r{\acute{e}}sultat$ d'une opposition et fusion de notre raisons et parole. Bachelard pense que la parole est une $r{\acute{e}}alisation$ de l'image qui est l'essence de notre $psych{\acute{e}}$. Pour lui, la parole, la quintessence de $logosph{\grave{e}}re$, est le champ de l'imagination $d^{\prime}o{\grave{u}}$ jaillissent les images. C'est pour cela que $logosph{\grave{e}}re$ se situe ${\grave{a}}$ l'antipode de logocentrisme. $Logosph{\grave{e}}re$ nous fournit un espace de $r{\hat{e}}verie$ de langue. Notre $soci{\acute{e}}t{\acute{e}}$ contemporaine $fourr{\acute{e}}e$ des images visuelles creuses est $d{\acute{e}}pouill{\acute{e}}e$ de plus en plus des espaces de $r{\hat{e}}veries$. C'est une des raisons que le $logosph{\grave{e}}re$ de Bachelard doit ${\hat{e}}tre$ $r{\acute{e}}activ{\acute{e}}$ aujourd'hui.

La pensée sérieuse sur la mort et le sens métaphysique sur la mort chez Kierkegaard (키르케고르: 죽음에 관한 진지한 사유와 죽음의 형이상학적 의미)

  • Lee, Myung-gon
    • Journal of Korean Philosophical Society
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    • v.131
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    • pp.303-330
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    • 2014
  • Les avis des philosophes sur la mort sont $diff{\acute{e}}rentes$ selon leurs visions du monde. Certains essaient de surmonter la peur sur la mort, en $n{\acute{e}}gligeant$ la mort, et certains essaient de vivre le vraie vie par la $m{\acute{e}}ditation$ de la mort. Chez Kierkegaard la notion de la mort se $pr{\acute{e}}sente$ comme key-world $tr{\grave{e}}s$ important, et cela signifie qu'il parle par la mort une vie $s{\acute{e}}rieuse$ et vraie. Pour Kierkegaard la mort signifie d'abord la mort de la vie mondaine ou la $n{\acute{e}}gation$ de soi, cela est en faveur de sa conception de la nature humaine $o{\grave{u}}$ l'homme est fondamentalement un ${\hat{e}}tre$ $probl{\grave{e}}matique$ et ${\grave{a}}$ la fois ceuli qui a un rapport avec $l^{\prime}{\acute{e}}ternel$. Le $d{\acute{e}}sespoir$ de l'homme sur la vie $pr{\acute{e}}sente$ peut devenir 'la maladie qui entraîne la mort' c'est-${\grave{a}}$-dire la mort spirituelle, mais il peut donner aussi une chemin par laquelle l'homme se dirige en tant qu'individu vers l'Absolu. Chez lui ${\hat{e}}tre$ $s{\acute{e}}rieux$ signifie devenir existentiellement par la $n{\acute{e}}gation$ de soi. Et l'absence de la $sinc{\acute{e}}rit{\acute{e}}$ signifie l'absence de soi en tnat $qu^{\prime}{\hat{e}}tre$ spirituel. Ainsi la $pens{\acute{e}}e$ $s{\acute{e}}rieuse$ sur la mort $n^{\prime}{\acute{e}}tant$ autre chose que de penser la mort comme la partie de $l^{\prime}{\hat{e}}tre$ $pr{\acute{e}}sent$, elle devient la source ${\acute{e}}nergique$ qui permet de vivre pleinement le $pr{\acute{e}}sent$ comme $r{\acute{e}}alit{\acute{e}}$ $li{\acute{e}}$ ${\acute{a}}$ $l^{\prime}{\acute{e}}ternit{\acute{e}}$. Sa $pens{\acute{e}}e$ $s{\acute{e}}rieuse$ sur la mort permet d'avoir une conviction religieuse par laquelle l'homme peut penser la mort corporelle comme aventure $li{\acute{e}}e$ ${\grave{a}}$ $l^{\prime}{\acute{e}}ternit{\acute{e}}$ et par laquelle l'homme peut penser aussi la vie $apr{\grave{e}}s$ la mort comme vraie vie que les justes avaient $d{\acute{e}}sir{\acute{e}}s$. Cette $pens{\acute{e}}e$ de Kierkegaard sur la mort signifie le sens $m{\acute{e}}taphysique$ sur la mort au sens $o{\grave{u}}$ elle est une $r{\acute{e}}alit{\acute{e}}$ $v{\acute{e}}cue$, et aussi la $pens{\acute{e}}e$ qui ${\acute{e}}claircit$ la sagesse des philosophes antiques ${\grave{a}}$ la perspective $chr{\acute{e}}tienne$ qui dit philosopher, c'est apprendre ${\grave{a}}$ mourir.

Kierkegaard: l'aspect de l'existence éthique et l'éthique de l'amour (키르케고르: 윤리적 실존의 양상과 사랑의 윤리학)

  • Lee, Myung-gon
    • Journal of Korean Philosophical Society
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    • v.129
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    • pp.167-191
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    • 2014
  • Pour Kierkegaard la condition de l'homme naturel est tragique. $D^{\prime}{\hat{e}}tre$ $s^{\prime}{\acute{e}}veiller$, ${\hat{e}}tre$ ignorant et $d{\acute{e}}nier$ sur son vrai ${\hat{e}}tre$, tous causent le $d{\acute{e}}sespoir$. En plus l'homme ne peut avoir une conviction sur son bonheur $jusqu^{\prime}{\grave{a}}$ la mort. Donc sa $th{\acute{e}}orie$ du bonheur ne se base pas sur le bonheur. Tous le monde vit dans une situation $o{\grave{u}}$ il y a une distance entre $l^{\prime}{\hat{e}}tre$ $pr{\acute{e}}sent$ et son vrai ${\hat{e}}tre$. La vie ${\grave{a}}$ la perspective ${\acute{e}}thique$ s'apparaît comme se diriger vers son vrai ${\hat{e}}tre$ et ceci signifie $d^{\prime}{\acute{e}}tablir$ son ${\hat{e}}tre$ $int{\acute{e}}rieur$ en s'echappant la vie $esth{\acute{e}}tique$ qui est la vie sensitive et directe, et aussi faire s'identifier son ${\hat{e}}tre$ $ext{\acute{e}}rieur$ ${\grave{a}}$ son ${\hat{e}}tre$ $int{\acute{e}}rieur$. Le $p{\acute{e}}ch{\acute{e}}$ signifie la $s{\acute{e}}paration$ de son vrai ${\hat{e}}tre$, cela est la source de tout mal. L'obtention parfait de $l^{\prime}{\hat{e}}tre-soi$ exisge ${\hat{e}}tre$ en $pr{\acute{e}}sence$ devant l'Asolu(Dieu) en tant qu'individu unique, et s'accorder avec l'Absolu. Mais du fiat $m{\hat{e}}me$ que ceci est impossible pour tous, tout le monde ne peut vivre qu'ayant un peu de $p{\acute{e}}ch{\acute{e}}$. Donc l'aspect de la vie ${\acute{e}}thique$ s'apparaît une vie dynamique qui $d{\acute{e}}passe$ $soi-m{\hat{e}}me$ sans cesse. En contradiction qu'avec l'analyse sur $l^{\prime}{\hat{e}}tre$ $pr{\acute{e}}sent$ qui est si tragique, la vertu de cette vie ${\acute{e}}thique$ est si optimiste. Elle est l'amour. Cet amour est $tr{\acute{e}}s$ excellent qui $d{\acute{e}}passe$ toute la vertu ${\acute{e}}thique$. En $v{\acute{e}}rit{\acute{e}}$ pour Kierkegaard, bien que le salut $lui-m{\hat{e}}me$ sera donner par la foi, le principe de cet amour est l'unique vertu qui ammene l'homme vers la foi et vers le salut. C'est pourquoi son ${\acute{e}}thique$ est essentiellement s'apparaît 'une ${\acute{e}}thique$ de l'amour', et la recherche sur cet amour, son principe et son aspect reste comme uneque $t{\hat{a}}che$ de $l^{\prime}{\acute{e}}thique$.

Une étude sur les textes théâtrals de Young-Sun Yun: L'écriture théâtrale sur la mort et le deuil (윤영선 희곡 연구: 죽음과 애도의 글쓰기)

  • Ahn, chiwoon
    • Journal of Korean Theatre Studies Association
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    • no.52
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    • pp.117-157
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    • 2014
  • Cette ${\acute{e}}tude$ est pour l'objectif de rechercher sur $l^{\prime}{\acute{e}}criture$ $th{\acute{e}}{\hat{a}}trale$ de la mort et le deuil dans les $th{\acute{e}}{\hat{a}}tres$ chez Young-sun Yun(1954-2007) ${\grave{a}}$ travers des textes dramatiques ${\acute{e}}crits$ par $lui-m{\hat{e}}me$, qui ${\acute{e}}tait$ aussi le metteur en $sc{\grave{e}}ne$ depuis 1994 dans le $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ contemporain en $Cor{\acute{e}}e$. Cette $th{\grave{e}}se$ est $commenc{\acute{e}}$ ${\grave{a}}$ ${\acute{e}}crire$ pas pour apprendre ses textes mais pour comprendre la ralation entre les textes et les ${\exp}{\acute{e}}riences$ de l'auteur. Ici, pour cela, j''ai $analys{\acute{e}}$ ses 4 $pi{\grave{e}}ces$ $th{\acute{e}}{\hat{a}}trales$ produites ${\grave{a}}$ cette ${\grave{e}}poque$, dont (1994), (2000), $d{\acute{e}}biteur$, mon $p{\grave{e}}re$ est $progress{\acute{e}}$ de cancer>(1996), (2005), en referrant les rapports entre $l^{\prime}{\acute{e}}criture$ dramatique et de la mort et le deuil de $p{\grave{e}}re$. Cette ${\acute{e}}tude$ $pr{\acute{e}}suppose$ un certain situation psychologue de l'auteur sur la mort et le deuil de personnage '$p{\grave{e}}re$'. L'auteur dramatique et le metteur en $sc{\grave{e}}ne$ du $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ Young-sun Yun propose certaines orientations de la mort de son $p{\grave{e}}re$ dans ses texts dramatiques: le sentiment de victime sous le pouvoir absolu de son $p{\grave{e}}re$. Chez lui, ${\acute{e}}crire$ le texte dramatique, c'est transmettre les amertumes d'esprit et une forme de $r{\acute{e}}flextion$ vis-${\grave{a}}$-vis de la relation avec son $p{\grave{e}}re$ surtout le $probl{\grave{e}}me$ $inachev{\acute{e}}$ de deuil. c'est-${\grave{a}}$-dire fournir des sentiments coupables et des $anxi{\acute{e}}t{\acute{e}}s$ qui $r{\acute{e}}sident$ au fond de son coeur, tout au long de sa vie. Pour cette objecif, il est ${\acute{e}}vident$ qu'il faudra toujours partir du texte et y revenir. J'ai $essay{\acute{e}}$ de ne pas $r{\acute{e}}duiser$ $l^{\prime}{\acute{e}}tude$ des textes au respect myope des paroles des personnage et rester la $r{\acute{e}}flextion$ pshchologique sur la mort et le processu de deuil. J'ai $essay{\acute{e}}$ d'appuyer mes remarques sur les sources $autoris{\acute{e}}es$: psychanalytiques en la $mati{\grave{e}}re$. C'est pourquoi j'ai cru devoir $pr{\acute{e}}senter$ cette recherche de l'analyse sous la forme d'une $synth{\grave{e}}se$ des principaux concepts de la $th{\acute{e}}orie$ de la pshchologie moderne qui permettent l'analyse des textes dramatiques.(Dany Nobus, David K. Switzer, Fritz Riemann, Giles Deleuze, Sigmund Freud, Julia Kristeva) Et auiss j'ai $essay{\acute{e}}$ de explorer l'imaginaire des paroles dans les textes en ses rapports avec l'auteur et les personnages et entre les personnages. Ainsi conçu, j'ai $analys{\acute{e}}$ les formes de paroles en ce qui concerne la mort de $p{\grave{e}}re$ et le deuil. Cette $mani{\grave{e}}re$ s'est $r{\acute{e}}v{\acute{e}}l{\acute{e}}e$ efficace pour montrer comment des traces de sentiment se transforment dans des textes. Dans les pluparts des personnages chez les textes de Young-sun Yun, on peut voir si $d{\acute{e}}finitivement$ leur cicatrices personnelles, $sensibilit{\acute{e}}s$ $m{\hat{e}}l{\acute{e}}s$, ce 'je-ne-pourrai-rien-contre-mon-$p{\grave{e}}re$' ou 'je-ne-sais-quoi-et-presque-$apr{\grave{e}}s$-la mort-de-mon pere'. Pour $d{\acute{e}}pouiller$ cet aspect, j'ai $montr{\acute{e}}$ qu'il n'y avait pas de $v{\acute{e}}rit{\acute{e}}s$ objectives, mais que la $subjectivit{\acute{e}}$ doit trouver le jeu triangulaire entre l'inconscient de l'auteur par les paroles des textes et par les rapports entre le symbolisant et le $symbolis{\acute{e}}$ dans les $repr{\acute{e}}sentation$ socio-culturelle en $Cor{\acute{e}}e$ d'aujourd'hui.