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La pensée sérieuse sur la mort et le sens métaphysique sur la mort chez Kierkegaard (키르케고르: 죽음에 관한 진지한 사유와 죽음의 형이상학적 의미)

  • Lee, Myung-gon
    • Journal of Korean Philosophical Society
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    • v.131
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    • pp.303-330
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    • 2014
  • Les avis des philosophes sur la mort sont $diff{\acute{e}}rentes$ selon leurs visions du monde. Certains essaient de surmonter la peur sur la mort, en $n{\acute{e}}gligeant$ la mort, et certains essaient de vivre le vraie vie par la $m{\acute{e}}ditation$ de la mort. Chez Kierkegaard la notion de la mort se $pr{\acute{e}}sente$ comme key-world $tr{\grave{e}}s$ important, et cela signifie qu'il parle par la mort une vie $s{\acute{e}}rieuse$ et vraie. Pour Kierkegaard la mort signifie d'abord la mort de la vie mondaine ou la $n{\acute{e}}gation$ de soi, cela est en faveur de sa conception de la nature humaine $o{\grave{u}}$ l'homme est fondamentalement un ${\hat{e}}tre$ $probl{\grave{e}}matique$ et ${\grave{a}}$ la fois ceuli qui a un rapport avec $l^{\prime}{\acute{e}}ternel$. Le $d{\acute{e}}sespoir$ de l'homme sur la vie $pr{\acute{e}}sente$ peut devenir 'la maladie qui entraîne la mort' c'est-${\grave{a}}$-dire la mort spirituelle, mais il peut donner aussi une chemin par laquelle l'homme se dirige en tant qu'individu vers l'Absolu. Chez lui ${\hat{e}}tre$ $s{\acute{e}}rieux$ signifie devenir existentiellement par la $n{\acute{e}}gation$ de soi. Et l'absence de la $sinc{\acute{e}}rit{\acute{e}}$ signifie l'absence de soi en tnat $qu^{\prime}{\hat{e}}tre$ spirituel. Ainsi la $pens{\acute{e}}e$ $s{\acute{e}}rieuse$ sur la mort $n^{\prime}{\acute{e}}tant$ autre chose que de penser la mort comme la partie de $l^{\prime}{\hat{e}}tre$ $pr{\acute{e}}sent$, elle devient la source ${\acute{e}}nergique$ qui permet de vivre pleinement le $pr{\acute{e}}sent$ comme $r{\acute{e}}alit{\acute{e}}$ $li{\acute{e}}$ ${\acute{a}}$ $l^{\prime}{\acute{e}}ternit{\acute{e}}$. Sa $pens{\acute{e}}e$ $s{\acute{e}}rieuse$ sur la mort permet d'avoir une conviction religieuse par laquelle l'homme peut penser la mort corporelle comme aventure $li{\acute{e}}e$ ${\grave{a}}$ $l^{\prime}{\acute{e}}ternit{\acute{e}}$ et par laquelle l'homme peut penser aussi la vie $apr{\grave{e}}s$ la mort comme vraie vie que les justes avaient $d{\acute{e}}sir{\acute{e}}s$. Cette $pens{\acute{e}}e$ de Kierkegaard sur la mort signifie le sens $m{\acute{e}}taphysique$ sur la mort au sens $o{\grave{u}}$ elle est une $r{\acute{e}}alit{\acute{e}}$ $v{\acute{e}}cue$, et aussi la $pens{\acute{e}}e$ qui ${\acute{e}}claircit$ la sagesse des philosophes antiques ${\grave{a}}$ la perspective $chr{\acute{e}}tienne$ qui dit philosopher, c'est apprendre ${\grave{a}}$ mourir.

Une étude pour la critique de théâtre avec la sémiotique ouverte -avec par Jean Genet- (열린 기호학을 활용한 연극비평 연구 -장 주네의 <하녀들> 공연을 중심으로-)

  • LIM, Seon-Ok
    • Journal of Korean Theatre Studies Association
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    • no.40
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    • pp.239-275
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    • 2010
  • Cette ${\acute{e}}tude$ a pour but de proposer une $m{\acute{e}}thodologie$ de critique avec la $s{\acute{e}}miotique$ ouverte. La critique de $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ commence ${\grave{a}}$ lire le $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$, l'analyse et juge son valeur. Il arrive souvent qu'on juge avec intutition. On dit que c'est une critique d'impressionnisme. Cette critique est subjective, mais pas objective. La $s{\acute{e}}miotique$ de Saussure offre la $m{\acute{e}}thodologie$ scientifique ${\grave{a}}$ la critique. A $c{\hat{o}}t{\acute{e}}$ de la critique d'impressionnisme qui est subjective, la $s{\acute{e}}miotique$ peut expliciter la raison objective. On ${\acute{e}}tait$ admiratif devant sa scientisme, pourtant $apr{\grave{e}}s$ quoi on critique sa non-$subjectivit{\acute{e}}$ et sa non-$historicit{\acute{e}}$. Dans l'opposition de $l^{\prime}objectivit{\acute{e}}$ et de la $subjectivit{\acute{e}}$, on tente de rechercher un model $int{\acute{e}}gr{\acute{e}}$ dialectiquement entre l'impressionisme(subjective) et la scientisme(objective). Pour cela, on doit aux Ecrits de linguistique $g{\acute{e}}n{\acute{e}}rale$ ($publi{\acute{e}}$ en 2002 chez Gallimard). Ces Ecrits nous aident ${\grave{a}}$ amener la $s{\acute{e}}miotique$ $ferm{\acute{e}}e$ sur la $s{\acute{e}}miotique$ ouverte et ${\grave{a}}$ $red{\acute{e}}couvrir$ la $pens{\acute{e}}e$ de Saussure. Ils nous font ouvrir un nouveau champ de recherche pour la $s{\acute{e}}miotique$ ouverte. L'essentiel de la $th{\acute{e}}orie$ saussurienne du signe $d{\acute{e}}pend$ de l'arbitraire et du circulaire du signe. On $red{\acute{e}}couvre$ la notion ${\acute{e}}largie$ du signe, dans Ecrits de linguistique $g{\acute{e}}n{\acute{e}}rale$, contre le courant majeur de linguistique et de structuralisme. Cette notion s'y focalise, ${\grave{a}}$ la valeur, ${\grave{a}}$ la $relativit{\acute{e}}$, ${\grave{a}}$ la $diff{\acute{e}}rence$ et au $syst{\grave{e}}me$. Avec elle, on tente d'adopter la $s{\acute{e}}miotique$ ouverte pour rechercher une $m{\acute{e}}thodologie$ de critique qui se veut objective et ${\grave{a}}$ la fois subjective. Il s'agit d'une difficile combinaison de l'impressionisme et de la scienticisme. Pour cela, la $m{\acute{e}}thodologie$ se $d{\acute{e}}veloppera$ en trois ${\acute{e}}tapes$. $1{\grave{e}}re$ ${\acute{e}}tape$: c'est lire le $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ comme un signe total pour 1er jugement d'impressionnisme. $2{\grave{e}}me$ ${\acute{e}}tape$: c'est retrouver sa structure invisible dans la $relativit{\acute{e}}$ des signes. $3{\grave{e}}me$ ${\acute{e}}tape$: c'est juger, dans leur $relativit{\acute{e}}$, comment les $d{\acute{e}}tails$ de signes se fonctionnent. C'est lire les $d{\acute{e}}tails$ de signes et puis $r{\acute{e}}affirmer$ le jugement en $1{\grave{e}}re$ ${\acute{e}}tape$. Selon les $derni{\grave{e}}res$ deux ${\acute{e}}tapes$, on pourra comparer le premier jugement (impressif) et le dernier jugement (objectif), et enfin s'assumer comme critique. Selon la $m{\acute{e}}thodologie$ $propos{\acute{e}}e$, on pratique la critique sur ${\acute{e}}crit$ par Jean Genet, et mise en $sc{\grave{e}}ne$ par Lee Youn-Taek et par Park Jung-Hee. Pour la critique intertextuelle, on la fera en comparant les deux spectacles avec la $pi{\grave{e}}ce$ de Jean Genet. $D^{\prime}apr{\grave{e}}s$ la comparaison, Lee Youn-Taek met en $sc{\grave{e}}ne$ avec $fid{\acute{e}}lit{\acute{e}}$ la structre et les signes de $d{\acute{e}}tail$ de l'auteur, Park Jung-Hee change sa structre et ses signes pour mettre en $sc{\grave{e}}ne$ la $pi{\grave{e}}ce$ de Genet. Ils se $diff{\grave{e}}rent$ l'un et l'autre: Lee incite le discours de la classe sociale dans le spectacle, et Park y incite le discours du $d{\acute{e}}sir$. La $diff{\acute{e}}rence$ des signes dans la $relativit{\acute{e}}$ apporte la $diff{\acute{e}}rence$ de la signification de discours $th{\acute{e}}{\hat{a}}tral$, et enfin se font changer les significations de deux spectacles.